Non, je ne suis pas « chanceuse ». Je surmonte les échecs, c’est tout.

Gloire aux réseaux sociaux … ou pas du tout.

Elle est “famous”. Elle réussit tout ce qu’elle entreprend. Elle a une belle famille et un métier enviable. Elle a toujours le sourire aux lèvres et semble si déterminée. Elle ose et ne s’empêche plus de faire ce qu’elle aime.

Tu sais, les fameux réseaux sociaux qui ne montrent qu’une partie de la médaille : celle du beau et de la réussite, ça peut finir par taper sur les nerfs. Ça ne reflète qu’une partie de la réalité, celle que l’on a toujours tendance à vouloir montrer. 

Pour être franche, je ne souhaite pas particulièrement voir des drames et des moments difficiles vécus par mes proches lorsque je navigue sur Instagram ou en regardant les dernières actualités de mes amis sur Facebook. Je sais que ça existe et je suis là pour eux quand il le faut, mais les réseaux sociaux sont utiles pour inspirer et faire rêver le monde.

Cela me convient de voir « du beau » : des belles photos, des textes inspirants et les plus beaux looks des gens que j’aime suivre. Par contre, il faut comprendre que derrière chaque réussite, chaque photo et chaque publication des autres, nous ne voyons que la pointe de l’iceberg : celle du résultat. Jamais on ne verra les refus que la personne a essuyés, les échecs et les nombreux « non » qu’elle a reçus. Encore une fois, c’est parfait comme ça. 

Mais c’est une bonne chose de le savoir. Il faut toujours garder en tête que derrière chaque bonheur, il y a eu un cheminement, des épreuves, des claques dans la face, des larmes, des frustrations, de la guérison et beaucoup d’apprentissages.

Comment carburer à l’échec ?

Les échecs sont nos meilleurs alliés. Si on prend le temps de bien penser à ce qu’on a appris grâce à eux, on fait ce constat gratifiant. C’est l’autre côté de la médaille qu’on peut enfin voir. On comprend que l’audace est une façon de se dire “Why not?” et d’accueillir les échecs à bras ouverts. En faisant ça, on se met plus en danger et on teste davantage nos limites. Mais dis-toi que c’est normal de faire des erreurs, de recevoir des refus : plus on se donne des défis dans la vie, plus on augmente nos chances de recevoir des échecs et plus on augmente nos chances de réussir, aussi. 

Si tu es comme moi, c’est-à-dire une personne qui carbure aux objectifs et aux rêves à atteindre, tu as donc sûrement connu plusieurs frustrations. 

Des « non » à des projets auxquels tu tenais comme à la prunelle de tes yeux.

Des portes qui se ferment.

Des attentes interminables qui ne se concluent pas de la façon dont tu le souhaitais.

Alors, les phrases telles que : 

« T’es toujours chanceuse, tu réussis tout. »

Ou bien

« On le sait, pour toi, tout est toujours facile. »

C’est frustrant et c’est surtout très FAUX. D’ailleurs, je ne garde jamais bien loin dans mes photos cette image à propos de la compagnie Coca-Cola :

Cette image résume bien ce que je pense : l’audace et la persévérance resteront toujours les meilleures clés de notre succès. Maintenant, il ne nous reste qu’à ne plus avoir peur d’essayer de nouvelles choses. Bien souvent, ce n’est pas la chance qui fait tout le travail, c’est toi.

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Texte par:

Ariane Dostaler est la soupoudreuse de paillettes des communautés et des réseaux sociaux chez Paillettes inc. Vous pouvez la retrouver sur Instagram : instagram/arianedostaler

Touche magique: Marie-Belle Rédaction Créative